nom Le Trident - Hôtel
maître d'ouvrage BS2C Sarl
ville Mulhouse
département 68
fin des travaux 2013
architecte Mongiello & Plisson
ingenieur fluides eda
ingénieur structure cte
ingénieur infrastructure B2000
Maquettiste Fassel maquettes
entreprises ckd
Le Trident à Mulhouse : commerces, bureaux, hôtel et résidence hôtelière
A l’entrée Ouest de Mulhouse, à l’amorce des collines sundgauviennes, un terrain en pente, délimité par la route de Belfort et la rue Cezanne, périphérique au quartier des Coteaux, et situé à la rencontre des Parc des collines et de la Mer rouge, accueille le « Trident ».
Le « Trident » est à la fois lieu de convergence et de rayonnement.
- il est fédérateur en inscrivant ses volumes construits dans la logique de l’urbanisme existant et,
- il forme signal en érigeant ses lames verticales aux portes de Mulhouse.
Il intègre dans son plan de composition, la dimension paysagère. Il s’appuie sur le « Doigt vert » du Parc des collines. Celui-ci consiste en des plantations forestières qui recouvrent la partie haute du site bordant le cheminement piétonnier reliant le Quartier les Coteaux à Morschwiller. Des alignements d’arbres structurent les voiries selon des lignes élaborées dans le respect des courbes de niveaux. Les plantations d’arbres, à hautes tiges accompagnent les parkings aériens.
Le site accueille en partie basse du terrain quatre grandes surfaces commerciales suivant les courbes de niveaux.
En partie haute du site, le « Trident » est construit sur un socle de deux niveaux regroupant des services et des commerces de proximité. Au-dessus trois immeubles se dressent :
Un immeuble de bureaux
Un hôtel Holiday Inn
Une Résidence hôtelière pour personnes âgées.
Le socle est très vitré, côté aval en offrant de multiples accès. Côté amont, il disparaît dans la pente du terrain et sous la végétation recouvrant, pour partie, sa toiture. Deux niveaux de parking souterrains desservent ces équipements.
Les trois immeubles se découpent en masses sombres dans le paysage. Des éléments rouges ponctuent, de manière récurrentes les façades. Malgré la diversité des programmes, il se dégage une impression d’unité.